Historique
Historique général
Les Tantras, écritures sacrées, existent depuis plus de 7000 ans. Le Tantrisme est issu de l’Hindouisme : Inde, Tibet, Bhoutan, Chine, Indonésie, Népal. Le Tantra relie la sexualité au sacré quand le corps et l’esprit ne font qu’UN, le grand Tout. De son nom « Tan » qui signifie « Le Tout » et « Tra » tisser, c'est une méthode d’expansion de conscience, d'éveil, et devient au quotidien un art de vivre avec conscience et pleine puissance, dans la relation à soi, aux autres et au monde. "Le tantra dans son ensemble consiste à embrasser la totalité de notre être et de nos expressions afin de devenir et d'être une personne à part entière, sans séparer nos différents aspects intérieurs et extérieurs dans des domaines distincts. Cela signifie parvenir à une libération des parties réprimées de notre être, qui se trouvent souvent dans la sphère morale, sensuelle et sexuelle. Il s'agit essentiellement d'amener toutes les parties de notre être à la pleine conscience et de les transcender enfin dans la félicité et l'illumination spirituelle. Le Tantra a une histoire de rébellion contre une société conservatrice, essayant de briser les tabous et les règles rigides, et c'est pourquoi les mouvements du Tantra et les praticiens eux-mêmes ont souvent été persécutés et supprimés par les classes dirigeantes. Le tantra a toujours été considéré comme "dangereux" pour une société ordonnée, et donc souvent comme quelque chose qui devait être détruit." La lignée du Skydancing®tantra : bouddha Padmasambhava Padmasambhava (en sanskrit, "né d'un lotus") est un maître tantrique et bouddhiste originaire du Cachemire. Il est le fondateur du tantrisme bouddhiste himalayen. Il est principalement vénéré au Bhoutan et au Tibet, où il est connu sous le nom de Guru Rinpoche ("maître précieux"). Il est le fondateur du bouddhisme au Tibet, où il a inspiré la voie Nyingmapa, une voie tantrique dans la tradition bouddhiste. Son épouse Yeshe Tsogyel, également connue sous le nom de Princesse ou Dame de Karchen, a atteint l'illumination grâce à sa pratique tantrique avec lui. Ils sont fréquemment représentés dans la position yab-yum. Elle est considérée comme la première femme à avoir atteint l'éveil dans la tradition bouddhiste. Elle était aussi parfois appelée SkyDancer. C'est pourquoi Margot a choisi ce nom : "SkyDancing" Tantra qui fait référence à la fois à Yeshe Tsogyel et à toutes les divinités féminines de la tradition bouddhiste tantrique appelées Dakinis (littéralement en sanskrit : "Sky Goers of Sky Dancers"). Le regard de Padmasambhava souligne la puissance et la force de la méthode SkyDancing. Il indique également que le Tantra est un chemin abrupt, qui ne convient pas forcément à tout le monde. Il requiert du courage, de l'engagement et de la détermination. Le regard féroce fait également référence aux divinités de la tradition tantrique, telles que Kali, dont l'énergie ardente et redoutable détruit tous les obstacles à la transformation personnelle. Ceux qui s'engagent dans cette voie doivent être prêts à changer. Ceux qui se sentiront effrayés ou trop perturbés par cette image passeront à autre chose. (image et texte extraits du site SkyDancing Tantra international) |
Quelques couleurs du tantra : blanc, rouge, noir
Il y a différentes interprétations sur "le terrain", notamment en Occident, il s'agit ici simplement d'une aide pour "se faire une idée". Dans la pratique, les "couleurs" ne sont pas toujours strictement séparées, et les enseignements et formations au tantra peuvent en utiliser une, en mélanger certaines, ou mélanger tous les types de tantra.
Le Tantra Blanc
Le tantra blanc est une pratique spirituelle pure, qui tente de transcender directement l'ego par des pratiques mentales et physiques disciplinées utilisant des techniques yogiques et de méditation. Les pratiques de Tantra Blanc les plus connues sont, par exemple, le Tantra Yoga, le Tantric Kundalini Yoga, et le Kriya Yoga, et typiquement dans le Tantra Blanc on trouve une utilisation abondante de Chants, Mandalas, Nyasas, Mantras, Yantras et Mudras.
Le Tantra Blanc tente de contourner ou de surmonter directement les éléments sombres ou réprimés de notre être grâce à certaines techniques yogiques. Il amène peut-être ces éléments à la conscience, mais il n'a pas pour objectif de les matérialiser ou de les réaliser. La santé physique, la pureté et le bien-être sont considérés comme importants pour la croissance spirituelle, et le travail sur la préparation du corps est donc tout aussi important.
En outre, dans le Tantra Blanc, on travaille beaucoup sur la purification et le raffinement du cœur pour parvenir à l'amour perpétuel.
Le Tantra Rouge est plus axé sur l'utilisation et la transformation de la sensualité et de la sexualité en domaines spirituels. Il y a l'idée de regarder et d'embrasser ce qui est interdit, les tabous, afin de libérer l'énergie (sexuelle) piégée. Cette énergie bloquée est à l'origine de frustrations et elle nous empêche de devenir un être humain complet et entier, exprimant notre moi intérieur de manière saine et équilibrée.
Il s'agit souvent d'émotions et de désirs refoulés, dans lesquels la sexualité refoulée joue un rôle important, ce qui conduit à des comportements de protection tels que déni/fuite ou compensation (dépendances). En fait, il s'agit de se libérer des perceptions, des préjugés, des règles, de la moralité et des jugements qui prévalent dans la société.
Au sein du mouvement néotantra, nous voyons notamment beaucoup de travail effectué dans la sphère génitale: le massage du Vajra, de la Yoni, la respiration sexuelle, le travail corporel de décuirasseemnt sexuel et émotionnel, la cartographie de la Yoni et les pratiques de la baguette Yoni, pour ne citer que quelques exemples.
Le Tantra Noir
Le dark tantra peut être considéré comme une forme "spécialisée" du tantra rouge qui aborde des pratiques comme le bondage, les jeux de sensations, le kink, les fétiches et les pratiques sadomasochistes, dans un espace sacré et sûr. L'idée ici est de surmonter la sexualité refoulée, c'est-à-dire les ombres qui bloquent notre énergie vitale (croyances limitantes, schémas, traumas) pour déplacer l'énergie vitale à travers le corps et éclairer la conscience. En fait, c'est une forme élevée de transformation et de guérison.
(inspiration de : Traditional bodywork.com)
Le Tantra Blanc
Le tantra blanc est une pratique spirituelle pure, qui tente de transcender directement l'ego par des pratiques mentales et physiques disciplinées utilisant des techniques yogiques et de méditation. Les pratiques de Tantra Blanc les plus connues sont, par exemple, le Tantra Yoga, le Tantric Kundalini Yoga, et le Kriya Yoga, et typiquement dans le Tantra Blanc on trouve une utilisation abondante de Chants, Mandalas, Nyasas, Mantras, Yantras et Mudras.
Le Tantra Blanc tente de contourner ou de surmonter directement les éléments sombres ou réprimés de notre être grâce à certaines techniques yogiques. Il amène peut-être ces éléments à la conscience, mais il n'a pas pour objectif de les matérialiser ou de les réaliser. La santé physique, la pureté et le bien-être sont considérés comme importants pour la croissance spirituelle, et le travail sur la préparation du corps est donc tout aussi important.
En outre, dans le Tantra Blanc, on travaille beaucoup sur la purification et le raffinement du cœur pour parvenir à l'amour perpétuel.
Le Tantra Rouge est plus axé sur l'utilisation et la transformation de la sensualité et de la sexualité en domaines spirituels. Il y a l'idée de regarder et d'embrasser ce qui est interdit, les tabous, afin de libérer l'énergie (sexuelle) piégée. Cette énergie bloquée est à l'origine de frustrations et elle nous empêche de devenir un être humain complet et entier, exprimant notre moi intérieur de manière saine et équilibrée.
Il s'agit souvent d'émotions et de désirs refoulés, dans lesquels la sexualité refoulée joue un rôle important, ce qui conduit à des comportements de protection tels que déni/fuite ou compensation (dépendances). En fait, il s'agit de se libérer des perceptions, des préjugés, des règles, de la moralité et des jugements qui prévalent dans la société.
Au sein du mouvement néotantra, nous voyons notamment beaucoup de travail effectué dans la sphère génitale: le massage du Vajra, de la Yoni, la respiration sexuelle, le travail corporel de décuirasseemnt sexuel et émotionnel, la cartographie de la Yoni et les pratiques de la baguette Yoni, pour ne citer que quelques exemples.
Le Tantra Noir
Le dark tantra peut être considéré comme une forme "spécialisée" du tantra rouge qui aborde des pratiques comme le bondage, les jeux de sensations, le kink, les fétiches et les pratiques sadomasochistes, dans un espace sacré et sûr. L'idée ici est de surmonter la sexualité refoulée, c'est-à-dire les ombres qui bloquent notre énergie vitale (croyances limitantes, schémas, traumas) pour déplacer l'énergie vitale à travers le corps et éclairer la conscience. En fait, c'est une forme élevée de transformation et de guérison.
(inspiration de : Traditional bodywork.com)
Yab Yum
L'image yab-yum représente les enseignements non duels les plus profonds du tantra, ainsi que le potentiel le plus élevé de la pratique sexuelle tantrique.
Le symbolisme divin de Yab-Yum La position du yab-yum est fréquente dans l'art tantrique, tant bouddhiste qu'hindou, à tel point que l'image elle-même est emblématique du tantra. Son symbolisme transcende la sexualité telle que nous la concevons au niveau humain, et pointe plutôt vers une sexualité divine, cosmique : l'union de la polarité à la racine, où tous les opposés se dissolvent dans la totalité. Pourtant, dans cette fusion, les éléments individuels ne sont pas perdus. Le mot pour non-dualité en sanskrit est "advaita", que l'on entend le plus souvent dans le contexte de l'Advaita Vedanta, mais qui s'applique également aux enseignements tantriques de haut niveau. Comme en anglais, ce mot ne signifie pas "unicité" mais littéralement "pas-deux". Ce n'est pas que tout fusionne dans l'uniformité. C'est un état dans lequel il n'y a pas de séparation, pas de division, pas d'illusion d'identité individuelle, et pourtant les différents éléments restent tels qu'ils sont. Rien ne se perd, rien ne se gagne. L'esprit ne peut pas comprendre cela : c'est soit une chose, soit plusieurs choses, n'est-ce pas ? |
L'un des dons du tantra sexuel est que l'énergie sexuelle est suffisamment puissante pour nous emmener au-delà de l'esprit rationnel, qui par nature ne peut vivre que dans le monde dualiste d'une chose ou d'une autre, et nous transporter dans cette compréhension ineffable et non duelle. La signification symbolique diffère légèrement entre le tantra bouddhiste et le tantra hindou, mais il n'est pas nécessaire de s'embrouiller et d'essayer de déterminer lequel des deux est "vrai". Il suffit de prendre cette divergence comme un rappel qu'en matière de concepts spirituels, à un certain point, ils sont tous également vrais et faux.
Ce qui compte, c'est la réalité vers laquelle ils mènent. Dans le bouddhisme, le féminin représente la sagesse transcendante (Prajnaparamita, Mère de tous les bouddhas), tandis que le masculin représente la compassion, le principe actif. Les homologues hindous sont en quelque sorte inversés. Ici, le féminin est actif - Shakti, l'énergie divine, la manifestation en constante évolution - tandis que le masculin est passif. Il est Shiva, le point informe et immuable de pure conscience au centre de tout.
L'union du transcendant avec le manifeste représente l'enseignement central du tantra, la non-dualité radicale qui considère le manifeste comme une expression divine plutôt que comme une simple illusion. Dans la vision tantrique, l'éternel et l'éphémère s'aiment passionnément. La forme et l'absence de forme sont toujours ensemble, jamais l'une sans l'autre, et pourtant elles aspirent l'une à l'autre dans l'étrange jeu de la séparation. Le monde de la forme est tellement amoureux de l'informe qu'il essaie toujours de se dissoudre en lui. Et l'absence de forme est tellement amoureuse de la forme que sa première vibration primordiale est l'intention pure de se manifester en tant que forme.
L'intimité transcendante du tantra sexuel
En tant que position pour faire l'amour, le yab-yum illustre les principes de la pratique sexuelle tantrique. Elle associe la verticalité à un sens profond de l'intimité, entremêlant le transcendant et l'immanent. Les deux partenaires sont debout, assis comme en méditation, ce qui permet une circulation optimale de l'énergie dans les canaux centraux vers les chakras supérieurs. Cela aide l'homme à se sublimer et la femme à s'abandonner, car elle se sent soutenue et élevée par son partenaire.
En même temps, il favorise une incroyable intimité entre les partenaires à tous les niveaux. Vos corps sont enlacés aussi près que possible. Cœur à cœur, vous vous fondez l'un dans l'autre. Au-delà du physique, au-delà même d'une union énergétique ou émotionnelle, vous vous retrouvez au point où il n'y a pas d'autre, seulement l'union.
(Source : https://aumtantrayoga.com)
Ce qui compte, c'est la réalité vers laquelle ils mènent. Dans le bouddhisme, le féminin représente la sagesse transcendante (Prajnaparamita, Mère de tous les bouddhas), tandis que le masculin représente la compassion, le principe actif. Les homologues hindous sont en quelque sorte inversés. Ici, le féminin est actif - Shakti, l'énergie divine, la manifestation en constante évolution - tandis que le masculin est passif. Il est Shiva, le point informe et immuable de pure conscience au centre de tout.
L'union du transcendant avec le manifeste représente l'enseignement central du tantra, la non-dualité radicale qui considère le manifeste comme une expression divine plutôt que comme une simple illusion. Dans la vision tantrique, l'éternel et l'éphémère s'aiment passionnément. La forme et l'absence de forme sont toujours ensemble, jamais l'une sans l'autre, et pourtant elles aspirent l'une à l'autre dans l'étrange jeu de la séparation. Le monde de la forme est tellement amoureux de l'informe qu'il essaie toujours de se dissoudre en lui. Et l'absence de forme est tellement amoureuse de la forme que sa première vibration primordiale est l'intention pure de se manifester en tant que forme.
L'intimité transcendante du tantra sexuel
En tant que position pour faire l'amour, le yab-yum illustre les principes de la pratique sexuelle tantrique. Elle associe la verticalité à un sens profond de l'intimité, entremêlant le transcendant et l'immanent. Les deux partenaires sont debout, assis comme en méditation, ce qui permet une circulation optimale de l'énergie dans les canaux centraux vers les chakras supérieurs. Cela aide l'homme à se sublimer et la femme à s'abandonner, car elle se sent soutenue et élevée par son partenaire.
En même temps, il favorise une incroyable intimité entre les partenaires à tous les niveaux. Vos corps sont enlacés aussi près que possible. Cœur à cœur, vous vous fondez l'un dans l'autre. Au-delà du physique, au-delà même d'une union énergétique ou émotionnelle, vous vous retrouvez au point où il n'y a pas d'autre, seulement l'union.
(Source : https://aumtantrayoga.com)
Définition du tantra
Le tantra est une science universelle qui permet d'approcher la connaissance de l'infini à travers la connaissance du fini et du monde limité des formes.
Il nous donne accès à la connaissance du macrocosme à travers le microcosme, à la connaissance de l'illimité par le biais du limité, à celle de la conscience suprême par celle de l'individuelle. Le tantra englobe tous les aspects de la vie et nous permet d'utiliser le monde qui nous entoure comme un tremplin pour le dépasser et découvrir notre nature divine. Ainsi, le monde objectif devient une porte ouverte sur l'éternel. (Source : Yoga en Provence) |
Androgynie, Shiva, Shakti
Le monde non manifesté est androgyne, le monde manifesté navigue dans des polarités. C'est l'union des deux polarités qui permet la vie dans le monde. L'équilibrage intérieur de chacun permet une manifestation saine et équilibrée et des relations saines et équilibrées, mais les polarités, les cycles, sont inhérents à la vie sur Terre et prétendre autre chose est un évitement, une fuite...
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Le yoga connu aujourd'hui a été très probablement développé au sein d'une civilisation que l'on dit "tantrique" évoluée qui existait en Inde du 5e au 2e millénaire avant JC, la civilisation Mohenjo Daro.
D'après la doctrine tantrique, fortement marquée par le mysticisme, il existe une identité absolue entre l'esprit et la matière, le microcosme et le macrocosme, le soi et le monde, l'âme individuelle (jivatman) et l'âme universelle (paramatman). Paramatman, l'âme universelle, est conçue comme étant le fondement de tout, unité indivisible, transcendante et éternelle qui se manifeste sous une forme androgyne. Cette forme a en soi un principe masculin statique et un principe féminin dynamique lesquels, en s'intégrant l'un à l'autre, créent continuellement la vie. Le purusha, le principe créatif masculin, l'esprit, et la prakriti, la nature matérielle, identifiés avec Shiva et Shakti, constituent les deux aspects de l'Un originel, symbolisés par le lingam ("phallus", littéralement "signe"), et la yoni ("ventre maternel", "vagin", littéralement "lieu"). De l'union de ces deux principes jaillit le monde et naît la vie. (Source : Yoga en Provence) Du grec andros (l’homme) et gyné (la femme), l’androgyne apparaît comme une figure de complétude. Selon Mircea Eliade, l’androgyne se manifeste par le « mystère de la totalité ». Comme tout mythe et toute figure archétypale, l’androgyne, à travers les formes différentes qu’il peut revêtir, traduit un fond commun de la condition humaine: rêve compensatoire des humains devant les difficultés de la sexualité et de la relation à l’autre sexe; ou représentation de ce qui pour l’homme serait à accomplir: intégrer si faire se peut ce qui se présente sous le signe « et homme et femme ». ( Marie-Claire Eskinazi) On peut mieux comprendre la signification centrale du mythe de l’androgyne en tant que lien symbolique par excellence de l’identité originaire du féminin et masculin (donc de la Nature et de l’Esprit, de l’inconscient et du conscient), si on rappelle l’autre qui lui est consubstantiel: le mythe de la chute. Celui-ci met en scène avec la différenciation sexuelle, la constitution de la polarité et de la naissance de la conscience. Le symbole de l’androgyne nous révèle donc « une profonde insatisfaction de l’homme, de sa situation naturelle, de ce que l’on appelle la condition humaine. L’homme se sent déchiré et séparé ». D’un certain point de vue, on peut dire que le mythe de l’androgyne « trahit la nostalgie d’un état paradoxal dans lequel les contraints coexistent sans pourtant s’affronter et où les multiplicités composent des aspects d’une mystérieuse unité ». (M. Eliade) |
Le vrai sens du masculin divin et sa mission divine à notre époque
Le masculin divin est une nouvelle énergie qui est entrée en scène ici sur terre et il a une claire mission : il ne sera pas tenté par les éloges ou les positions avantageuses, il est là pour mettre fin au cycle victime-agresseur dans laquelle l’humanité a été coincée.
Son pouvoir de changer tout le terrrain de jeu pendant cette période d’éveil spirituel de masse est connu des pouvoirs en place et à cause de cela il est une cible, et il a des défis uniques.
A cette étape de notre époque, le masculin divin a dû surmonter beaucoup de programmations, même les abus dont il a souffert sont uniques. Dans quelque direction où il se tourne, la matrice veut le façonner à l’image du faux masculin : il a honte de ses sentiments et est expulsé de son corps émotionnel. Sa libido est ciblée pour le garder hors de ses centres supérieurs. Sans nulle part où aller, l’énergie est bloquée dans le chakra racine, créant une identité limitée de son plein potentiel. Il est réprimé par des forces qui semblent être là pour lui, mais qui en fait ne veulent pas qu’il empiète sur son autorité intérieure.
Alors le patriarcat du faux père lui a fait un lavage de cerveau en lui faisant croire que la vraie masculinité est dans le patriotisme et servir son pays, alors qu’en réalité il est devenu un instrument à l’ordre de forces pathologiques. Il a lutté en privé pour surmonter l’exploitation de sa libido à travers la pornographie qu’ils ont injectée dans son psychisme. Ils ont cultivé la mysogynie en lui, et s’il est particulièrement intelligent ils tentent de diriger sa conscience vers des sociétés secrètes. S’il avance dans le domaine métaphysique, alors l’énergie masculine est manipulée cette fois sous la forme d’une supression : nous avons honte de notre énergie spirituelle de guerrier et de notre capacité à agir consciemment. On nous apprend à rediriger notre énergie masculine vers des états hyper-passifs, on nous dit que nous sommes dans l’erreur…
Nous apprenons maintenant à nous connecter et redonner vie à l’énergie masculine, aussi bien chez les hommes que chez les femmes, et c’est un pouvoir si puissant pour modifier le cours de notre évolution spirituelle qu’elle doit être microgérée et maîtrisée à chaque étape du chemin. Au moment où le masculin blessé est entré dans le masculin divin, il a du traverser et travailler chaque offre séduisante qui voulait l’entraîner dans une masculinité toxique… la séduction de se sentir opprimé par l’égalité, de conformer son allégeance à des institutions parasites, d’être rendu docile de la spiritualité, d’abandonner son discernement à la programmation religieuse ou affairiste, ou d’utiliser sa capacité naturelle pour la logique comme une arme contre la métaphysique plutôt qu’un outil pour relier l’esprit et la science.
Il ne peut pas être convaincu de renforcer le status quo par le biais d’une dissonance cognitive et d’une vision du monde fragile. .. il est là pour apporter la transformation qui l’annulera, il est un véritable alpha, et non les bêtas que nous voyons courir sur la scène mondiale essayant désespérément d’imiter ses qualités et ses attributs avec leur psychopathie. Nous ne sommes pas habitués à voir un véritable alpha. Nous avons confondu le masculn divin avec toutes sortes de figures pathologiques qui sont profondément toxiques. Nous justifions leur comportement, nous inventons des excuses pour expliquer pourquoi ils agissent de cette façon, nous comblons leurs trous dans le processus au lieu d’activer notre propre énergie masculine, en ayant le courage de voir à travers ces fausses figures, et puis nous finissons par les glorifier. Nous aspirons à éveiller cette présence en nous et pourtant nous en avons peur en même temps, car le vrai masculin a la capacité de gérer la vérité à un degré qui déchirerait la réalité de notre ego en lambeaux.
Certains hommes sont spécifiquement venus dans cette vie dans le but, au niveau de l’âme, d’être l’incarnation physique du masculin sacré, afin que les hommes aient un exemple de ce à quoi ressemble la vraie masculinité.
Jusqu’ici, nous n’avons vu qu’une caricature de ce à quoi ressemble la vraie masculinité et féminité. Nous ne les avons connues que sous leur formes profondément blessées, et à cause de cela il se passe quelque chose de très intéressant lorsqu’on incarne le masculin divin ou le féminin divin : l’énergie.. et cela n’est pas bien connu.. : pour qu’une personne devienne le masculin divin, elle doit en fait incarner également les attributs du féminin divin, et vice versa. Car ces énergies s’arrêtent là où l’autre commence, elles sont plus que simplement des forces complémentaires, elles sont un continuum d’un être entier. Si l’énergie féminine, en son cœur, est l’état de forme d’onde de pur potentiel, le masculin est la particule, il est l’infini en profonde concentration puis pixellisé en manifestation.
Le masculin divin est la norme pour les limites saines, l’action consciente, le focus, la logique, le soutien et la structure, l’auto-défense, l’objectivité. Il est notre capacité à exploiter les propriétés quantiques non linéaires du féminin puis à les synthétiser dans le linéaire, pour donner un sens au non-sens et créer de l’ordre depuis le chaos. Dans ce contexte, l’énergie féminine est notre capacité d’intuition, de créativité, de réceptivité, de compassion et de nourriture. L’énergie masculine ne peut pas être centrée et dans sa vraie forme sans intégrer ces deux forces en elle-même, tout comme l’énergie féminine ne peut pas être dans sa vraie forme sans intégrer ces deux forces en elle-même.
On ne peut pas faire comme si les femmes n’avaient pas besoin de limites et les hommes n’avaient pas besoin d’être informés par leur centre du cœur, car une femme sans la capacité d’affirmer ses limites est une cible privilégiée pour les harceleurs ou toute sortes d’énergies d’agresseur. Et un homme coupé de sa capacité à accéder à l’empathie peut se fragmenter en psychopathie. L’union de ces deux énergies au sein de l’individu n’est pas une force démoniaque que certains prétendraient être, elles ont en fait besoin d’être toutes les deux présentes au sein d’une personne, sinon l’être s’en va soit dans l’hyper passivité, soit dans la domination (et pas sous forme de plaisir sexy !).. d’une manière vraiment triste et blessée.
En fait la déconnexion de ces deux forces est ce qui cause en réalité une masculinité et une féminité toxiques, sous toutes ses nombreuses formes. Si nous sommes trop masculins, cela peut se manifester comme une logique cynique et tyrannique, qui vénère l’empirique et méprise le spirituel. Mais un autre déséquilibre est également que nous pouvons manquer d’énergie masculine, ce qui nous amène à devenir passifs, bloqués, immobilisés en ce qui concerne l’exécution de notre vision ou l’action selon notre inspiration.
Donc la déconnexion de notre énergie homologue apparaît sous différentes formes, mais à un niveau macrocosmique ce déséquilibre est en fait ce qui attire des lignes temporelles où nous jouons des thèmes archétypaux existentiels du cycle victime-agresseur, en changeant sans cesse de rôle jusquà ce que ces énergies soient harmonisées et intégrées une fois pour toutes.
L’apparence extérieure de l’intégration dépend de notre propre expression personnelle, car il n’y a pas une seule manière dont le masculin divin est censé ressembler, .. il peut ressembler à un body builder ou porter du khol sur ses yeux.. La mission du masculin divin dans cette vie est de restaurer l’énergie masculine dans son véritable état en étant l’incarnation vivante et en marche et respirante de cette énergie, la version de la masculinité qui n’abuse pas de son pouvoir mais ne le craint pas non plus.
Tout comme nous grandissons avec des parents victimisés dont nous reconstituons le traumatisme dans nos propres vies, le masculin divin est le nouveau modèle, et simplement en existant, en étant lui-même, il diffuse cette fréquence dans le champ morphogénique afin que l’humanité puisse le reconstituer, dans un monde où il est si facile de sauter dans le train le plus proche de n’importe quel mouvement et où même les penseurs libres sont piégés dans un esprit de ruche mentale…
Le masculin divin pense par lui-même et montre aux autres à quoi ressemble la vraie souveraineté. Il ne craint pas son énergie féminine et il sait que l’intégrer ne diminue pas sa masculinité : elle la renforce. En fait c’est son destin, il est là pour se transformer en serpent ailé alchimique, la fréquence alpha ultime, qui ne fait pas de mal mais ne prend pas non plus. Dans le divin féminin il a un véritable homologue qui ne lui fait pas honte de son pouvoir ou ne lui demande pas de se faire petit, mais qui peut garder un espace pour son développement, tout comme lui peut garder de l’espace pour celui de sa compagne. Ensemble ils guérissent activement leurs blessures personnelles et s’encouragent mutuellement à renaître des cendres du traumatisme générationnel et de la programmation subconsciente d’un patriarcat qui n’a jamais vraiment été pour aucun d’eux. Ensemble ces deux énergies se guident mutuellement vers l’ère de la conscience de l’unité et guident l’humanité dans un nouvel âge.
Source : The Alchemist
Son pouvoir de changer tout le terrrain de jeu pendant cette période d’éveil spirituel de masse est connu des pouvoirs en place et à cause de cela il est une cible, et il a des défis uniques.
A cette étape de notre époque, le masculin divin a dû surmonter beaucoup de programmations, même les abus dont il a souffert sont uniques. Dans quelque direction où il se tourne, la matrice veut le façonner à l’image du faux masculin : il a honte de ses sentiments et est expulsé de son corps émotionnel. Sa libido est ciblée pour le garder hors de ses centres supérieurs. Sans nulle part où aller, l’énergie est bloquée dans le chakra racine, créant une identité limitée de son plein potentiel. Il est réprimé par des forces qui semblent être là pour lui, mais qui en fait ne veulent pas qu’il empiète sur son autorité intérieure.
Alors le patriarcat du faux père lui a fait un lavage de cerveau en lui faisant croire que la vraie masculinité est dans le patriotisme et servir son pays, alors qu’en réalité il est devenu un instrument à l’ordre de forces pathologiques. Il a lutté en privé pour surmonter l’exploitation de sa libido à travers la pornographie qu’ils ont injectée dans son psychisme. Ils ont cultivé la mysogynie en lui, et s’il est particulièrement intelligent ils tentent de diriger sa conscience vers des sociétés secrètes. S’il avance dans le domaine métaphysique, alors l’énergie masculine est manipulée cette fois sous la forme d’une supression : nous avons honte de notre énergie spirituelle de guerrier et de notre capacité à agir consciemment. On nous apprend à rediriger notre énergie masculine vers des états hyper-passifs, on nous dit que nous sommes dans l’erreur…
Nous apprenons maintenant à nous connecter et redonner vie à l’énergie masculine, aussi bien chez les hommes que chez les femmes, et c’est un pouvoir si puissant pour modifier le cours de notre évolution spirituelle qu’elle doit être microgérée et maîtrisée à chaque étape du chemin. Au moment où le masculin blessé est entré dans le masculin divin, il a du traverser et travailler chaque offre séduisante qui voulait l’entraîner dans une masculinité toxique… la séduction de se sentir opprimé par l’égalité, de conformer son allégeance à des institutions parasites, d’être rendu docile de la spiritualité, d’abandonner son discernement à la programmation religieuse ou affairiste, ou d’utiliser sa capacité naturelle pour la logique comme une arme contre la métaphysique plutôt qu’un outil pour relier l’esprit et la science.
Il ne peut pas être convaincu de renforcer le status quo par le biais d’une dissonance cognitive et d’une vision du monde fragile. .. il est là pour apporter la transformation qui l’annulera, il est un véritable alpha, et non les bêtas que nous voyons courir sur la scène mondiale essayant désespérément d’imiter ses qualités et ses attributs avec leur psychopathie. Nous ne sommes pas habitués à voir un véritable alpha. Nous avons confondu le masculn divin avec toutes sortes de figures pathologiques qui sont profondément toxiques. Nous justifions leur comportement, nous inventons des excuses pour expliquer pourquoi ils agissent de cette façon, nous comblons leurs trous dans le processus au lieu d’activer notre propre énergie masculine, en ayant le courage de voir à travers ces fausses figures, et puis nous finissons par les glorifier. Nous aspirons à éveiller cette présence en nous et pourtant nous en avons peur en même temps, car le vrai masculin a la capacité de gérer la vérité à un degré qui déchirerait la réalité de notre ego en lambeaux.
Certains hommes sont spécifiquement venus dans cette vie dans le but, au niveau de l’âme, d’être l’incarnation physique du masculin sacré, afin que les hommes aient un exemple de ce à quoi ressemble la vraie masculinité.
Jusqu’ici, nous n’avons vu qu’une caricature de ce à quoi ressemble la vraie masculinité et féminité. Nous ne les avons connues que sous leur formes profondément blessées, et à cause de cela il se passe quelque chose de très intéressant lorsqu’on incarne le masculin divin ou le féminin divin : l’énergie.. et cela n’est pas bien connu.. : pour qu’une personne devienne le masculin divin, elle doit en fait incarner également les attributs du féminin divin, et vice versa. Car ces énergies s’arrêtent là où l’autre commence, elles sont plus que simplement des forces complémentaires, elles sont un continuum d’un être entier. Si l’énergie féminine, en son cœur, est l’état de forme d’onde de pur potentiel, le masculin est la particule, il est l’infini en profonde concentration puis pixellisé en manifestation.
Le masculin divin est la norme pour les limites saines, l’action consciente, le focus, la logique, le soutien et la structure, l’auto-défense, l’objectivité. Il est notre capacité à exploiter les propriétés quantiques non linéaires du féminin puis à les synthétiser dans le linéaire, pour donner un sens au non-sens et créer de l’ordre depuis le chaos. Dans ce contexte, l’énergie féminine est notre capacité d’intuition, de créativité, de réceptivité, de compassion et de nourriture. L’énergie masculine ne peut pas être centrée et dans sa vraie forme sans intégrer ces deux forces en elle-même, tout comme l’énergie féminine ne peut pas être dans sa vraie forme sans intégrer ces deux forces en elle-même.
On ne peut pas faire comme si les femmes n’avaient pas besoin de limites et les hommes n’avaient pas besoin d’être informés par leur centre du cœur, car une femme sans la capacité d’affirmer ses limites est une cible privilégiée pour les harceleurs ou toute sortes d’énergies d’agresseur. Et un homme coupé de sa capacité à accéder à l’empathie peut se fragmenter en psychopathie. L’union de ces deux énergies au sein de l’individu n’est pas une force démoniaque que certains prétendraient être, elles ont en fait besoin d’être toutes les deux présentes au sein d’une personne, sinon l’être s’en va soit dans l’hyper passivité, soit dans la domination (et pas sous forme de plaisir sexy !).. d’une manière vraiment triste et blessée.
En fait la déconnexion de ces deux forces est ce qui cause en réalité une masculinité et une féminité toxiques, sous toutes ses nombreuses formes. Si nous sommes trop masculins, cela peut se manifester comme une logique cynique et tyrannique, qui vénère l’empirique et méprise le spirituel. Mais un autre déséquilibre est également que nous pouvons manquer d’énergie masculine, ce qui nous amène à devenir passifs, bloqués, immobilisés en ce qui concerne l’exécution de notre vision ou l’action selon notre inspiration.
Donc la déconnexion de notre énergie homologue apparaît sous différentes formes, mais à un niveau macrocosmique ce déséquilibre est en fait ce qui attire des lignes temporelles où nous jouons des thèmes archétypaux existentiels du cycle victime-agresseur, en changeant sans cesse de rôle jusquà ce que ces énergies soient harmonisées et intégrées une fois pour toutes.
L’apparence extérieure de l’intégration dépend de notre propre expression personnelle, car il n’y a pas une seule manière dont le masculin divin est censé ressembler, .. il peut ressembler à un body builder ou porter du khol sur ses yeux.. La mission du masculin divin dans cette vie est de restaurer l’énergie masculine dans son véritable état en étant l’incarnation vivante et en marche et respirante de cette énergie, la version de la masculinité qui n’abuse pas de son pouvoir mais ne le craint pas non plus.
Tout comme nous grandissons avec des parents victimisés dont nous reconstituons le traumatisme dans nos propres vies, le masculin divin est le nouveau modèle, et simplement en existant, en étant lui-même, il diffuse cette fréquence dans le champ morphogénique afin que l’humanité puisse le reconstituer, dans un monde où il est si facile de sauter dans le train le plus proche de n’importe quel mouvement et où même les penseurs libres sont piégés dans un esprit de ruche mentale…
Le masculin divin pense par lui-même et montre aux autres à quoi ressemble la vraie souveraineté. Il ne craint pas son énergie féminine et il sait que l’intégrer ne diminue pas sa masculinité : elle la renforce. En fait c’est son destin, il est là pour se transformer en serpent ailé alchimique, la fréquence alpha ultime, qui ne fait pas de mal mais ne prend pas non plus. Dans le divin féminin il a un véritable homologue qui ne lui fait pas honte de son pouvoir ou ne lui demande pas de se faire petit, mais qui peut garder un espace pour son développement, tout comme lui peut garder de l’espace pour celui de sa compagne. Ensemble ils guérissent activement leurs blessures personnelles et s’encouragent mutuellement à renaître des cendres du traumatisme générationnel et de la programmation subconsciente d’un patriarcat qui n’a jamais vraiment été pour aucun d’eux. Ensemble ces deux énergies se guident mutuellement vers l’ère de la conscience de l’unité et guident l’humanité dans un nouvel âge.
Source : The Alchemist